Vendredi 22 septembre, l’autorité en charge des transports de Londres a annoncé le retrait de l’autorisation pour Uber d’opérer dans la capitale anglaise, et ce dès le 30 septembre. Déjà vertement critiquée par les syndicats ainsi que certains politiques pour les conditions de travail de ses chauffeurs, l’application de VTC a cette fois été mise en cause en raison de plusieurs agressions de passagers. Uber, qui a fait appel de la décision, va devoir batailler pour continuer d’offrir un gagne-pain à (tout de même) plus de 40.000 chauffeurs qui opèrent sur Londres. Après les longs mois de protestations des chauffeurs de taxis français à l’encontre de la société de VTC Uber, ce sont cette fois-ci les chauffeurs des fameux « Black Cabs » londoniens qui jubilent.